

Bordeaux s’impose un peu plus à chacune de ses sorties comme le club français de référence sur la scène européenne. Même si Lyon par son passé possède encore une aura supérieur, le champion de France en titre impressionne. En effet, après avoir surclassé le Bayern en l’espace de deux semaines, les Girondins ont donné une leçon de modestie à la Juventus. Jamais les italiens n’ont semblé pouvoir inquiéter les Français. Même si les deux réalisations sont venues sur coups de pieds arrêtés, la maîtrise dans le jeu fut Bordelaise. Del Piero, Amauri et Diego semblaient perdus sur la pelouse, alors que Plasil a fait oublier Gourcuff en réalisant son meilleur match de la saison. En se remémorant le match aller, on peut même regretter que Bordeaux ne se présente pas à une journée de la fin fort d’un sans faute. Car même à Turin, les Girondins avaient livré une grande partie (1-1). Seule la rencontre face à Haïfa (1-0), à Chaban-Delmas vient ternir la performance d’ensemble. Le fait que Laurent Blanc eut abandonné son 4-2-3-1 européen pour un 4-4-2 en losange, version championnat n’y était peu être pas pour rien.
Du côté de Lyon, le bilan est plus que positif. D’abord car le septuple champion de France était qualifié après quatre journées mais surtout parce qu’il a sorti Liverpool de la compétition. Seulement la défaite concédée à Florence (1-0) laisse un goût d’inachevé. Les hommes de Claude Puel n’ont inquiété Sébastien Frey que sur la fin.
Enfin Marseille traîne son faux pas initial comme un boulet. Une défaite à domicile face à l’AC Milan (1-2) qui pourrait (va ?) lui couter une qualification. La belle performance qui s’illustre comme le match référence à San Siro (1-1) à défaut d’être suffisante laisse germer des regrets. La maladresse de Brandao – qui a envoyé une reprise sur le poteau - associée à la malchance de Diawara – dont une tête à heurter le poteau - et au manque de vice de Ben Arfa - qui s’est fait tirer le maillot dans la surface- ont eu raison des ambitions olympiennes. Désormais, il convient d’obtenir de l’aide des zurichois pour rejoindre les deux compères français en huitièmes de finale. Si l’AC Milan bat les Suisses, l’OM devra battre le Real Madrid 3-0 ou par quatre buts d’écarts. Bref, la Ligue Europa devrait accueillir les marseillais en plus des Reds et sûrement des munichois.
Du côté de Lyon, le bilan est plus que positif. D’abord car le septuple champion de France était qualifié après quatre journées mais surtout parce qu’il a sorti Liverpool de la compétition. Seulement la défaite concédée à Florence (1-0) laisse un goût d’inachevé. Les hommes de Claude Puel n’ont inquiété Sébastien Frey que sur la fin.
Enfin Marseille traîne son faux pas initial comme un boulet. Une défaite à domicile face à l’AC Milan (1-2) qui pourrait (va ?) lui couter une qualification. La belle performance qui s’illustre comme le match référence à San Siro (1-1) à défaut d’être suffisante laisse germer des regrets. La maladresse de Brandao – qui a envoyé une reprise sur le poteau - associée à la malchance de Diawara – dont une tête à heurter le poteau - et au manque de vice de Ben Arfa - qui s’est fait tirer le maillot dans la surface- ont eu raison des ambitions olympiennes. Désormais, il convient d’obtenir de l’aide des zurichois pour rejoindre les deux compères français en huitièmes de finale. Si l’AC Milan bat les Suisses, l’OM devra battre le Real Madrid 3-0 ou par quatre buts d’écarts. Bref, la Ligue Europa devrait accueillir les marseillais en plus des Reds et sûrement des munichois.
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